Erylis Di'Moriänväl, élève de la Terre

Nom : Di'Moriänväl

Prénom : Erylis

Age : 160 ans (ce qui correspond à 16 ans age humain)

Race : Elfe de...Lune ?

Poste dans la cité : élève

Elément contrôlé :
J'ai choisi l'élément de la terre car je trouve qu'il n'y a pas plus beau que la nature (le chant des oiseaux, le bruit du feuillage et le silence avec une petite brise). J'aime beaucoup les arbres et c'est ce qui nous fait vivre donc j'ai beaucoup de respect pour eux. Voila les raisons qui m'ont poussé à choisir cet élément.

Histoire :
"Non allez-vous en, partez-je-vous en supplie ne lui faites pas de mal, nonnnnnnnnnnnnn..."
Erylis se réveilla en sursaut et en sueur après ce cauchemar horrible qu'elle venait de faire. Elle ouvrit les yeux et regarda autour d'elle. Sa mère était a son chevet et lui posa un linge humide sur son front en lui disant de se rendormir mais Erylis sentit qu'un mauvais présage allait arriver.
La jeune elfe se rallongea épuisée mais pas sereine pour autant pourtant elle se rendormit vite submergée par la fatigue.
"S'il vous plait ayez pitié d'elle ce n'est qu'une enfant, épargner la, je vous en conjure, s'il vous plait..."
Cette fois Erylis se réveilla à cause du bruit qui venait de dehors. On frappait à la porte.
« Mais qui cela peut bien être à cette heure tardive » se demanda Ellana, la mère Erylis.
Elle se leva et descendit. Son mari Danaël fut plus rapide qu'elle et ouvrit la porte. Aussitôt des cris et des bruits de casse montèrent aux oreilles d'Erylis.
« Les brûleurs ! » Se dit la jeune fille.
Aussitôt Ellana remonta dans la chambre en pleur mais décidée à protéger sa fille quoi qu'il arrive. Des pas dans les escaliers, des souffles bruyants se firent entendre. Des cliquetis d'armures et d'armes aussi.
Puis la porte de la chambre éclata en morceau laissant place à d'horribles monstres puants et laids. L'un des leurs cria un ordre bref et aussitôt les créatures se ruèrent sur Erylis et sa mère. Et là qu'elle ne fut pas la surprise d'Erylis quand elle remarqua que le cauchemar qu'elle avait fait auparavant était prémonitoire car sa mère cria exactement la même chose: « Non allez-vous en, partez-je-vous en supplie ne lui faites pas de mal, nonnnnnnnnnnnnn... ». Puis les brûleurs sortirent leurs armes acérées. La jeune elfe était désespérée. Allait-elle finir écorchée sans avoir même commencée à vivre ?
Ellana poussa un cri: « S'il vous plait ayez pitié d'elle ce n'ai qu'une enfant, épargner la, je vous en conjure, s'il vous plait... »
Les brûleurs en rigolèrent. Et sur ce, assommèrent les deux jeunes femmes.
Elles se réveillèrent tirées de leur comma par des cris de douleurs et des gémissements. Elles ouvrirent les yeux et découvrirent l’endroit où elles se trouvaient. C’était un camp de brûleurs. Il y avait d ‘autres prisonniers, femmes et enfants aussi, et les cris provenaient d’esclaves que les brûleurs fouettaient parce qu’ils résistaient. C’était vraiment horrible à voir.

Il s’était écoulé trois mois quand il se passa un événement qui allait bouleverser la vie d’Erylis.
Un jour alors qu’Erylis et quelques hommes allaient couper un arbrisseau pour alimenter le feu, elle ressentie une douleur très intense venant du jeune arbre. La douleur se faisait de plus en plus forte mais elle était comme même très floue.
Elle s’interposa et cria :
« Non arrêtez ne le coupé pas »
«Pourquoi ? »demanda un homme
« Parce que » répondit-elle
Les hommes se mirent à rigoler.
« Allez, pousse toi et laisse-nous finir le travail »
« Non »
« Alors nous allons t’enlever de là par la force »
Quatre des hommes se rapprochèrent et attrapèrent Erylis par les bras et les jambes.
La jeune elfe se débâtie de toutes ses forces en vains.
Elle pensa alors à des racines qui sortent de terre et qui attrapent les hommes par les jambes pour les pendre par les pieds. Elle sortit de son songe parce qu’elle venait de tomber par terre et par des cris poussés par les hommes. Ils avaient la tête en bas pendus par des racines enroulées autour de leurs jambes. Erylis était surprise. Elle pensa : *est-ce moi qui est fait ça ? *.
Elle n’eut pas le temps de trouver une réponse à sa question car un groupe de brûleurs arriva, alertés par les cris des quatre hommes. Erylis fut emmenée et emprisonnée pendant trois jours sans manger pour la punir de se qu’elle venait de faire.
Pendant les trois jours elle eut le temps de s’interroger sur le phénomène qu’elle avait provoqué.
*Si cette pensée avait fait sortir les racines de terre pourquoi cela ne remarcherait-il pas ? * se dit-elle.
Elle se concentra autant qu’elle pouvait et repensa à faire sortir des racines.
Et là devant ces yeux une racine jaillit de terre. Erylis n’en revenait pas : elle pouvait contrôler la terre ! Enfin un petit peu. Mais elle remarqua qu’un tatouage bizarre c’était mis sur son épaule droite : il avait la forme de feuilles et de fleurs symboles de la nature. C’était le signe qu’elle avait découvert son pouvoir et qu’elle en avait un.
Pendant les trois jours elle eut le temps de s’entraîner un peu chaque jour. Au bout du troisième jour des gardiens vinrent la chercher et la ramener au camp.
Quand Erylis vit sa mère elle se jeta dans ces bras. Ellana lui demanda pourquoi elle avait été punie. Erylis lui raconta toute l’histoire et son pouvoir impressionna sa mère :
« Peux-tu me faire une démonstration ? » Lui demanda-t-elle.
« Oui » répondit la jeune elfe.
Elles allèrent dans un coins tranquille et Erylis fit sa démonstration. Elle se débrouillait de mieux en mieux chaque jour un peu plus. Sa mère lui dit :
« J’ai toujours su que tu étais une enfant exceptionnelle. ».

Le soir Erylis eut une idée : elle allait s’évader, grâce à son pouvoir, avec sa mère. Elle exposa son plan à sa mère qui n’était pas sur que c’était une bonne idée car il y avait un gros risque à prendre et elles pouvaient toutes les deux perdre la vie s’il y avait un combat. Mais Erylis était sur du contraire et décida qu’elles s’en iraient deux jours plus tard à la nuit tombée pendant la relève de la garde.

C’était le grand jour. Erylis n’avait pas beaucoup dormi depuis mais c’était beaucoup entraîné pour être au point s’il y avait un combat. Elle n’avait pas de plan précis s’il y avait des complications mais elle répondait à chaque fois que sa mère lui faisait remarquer :
« Mais non il n’y aura pas de problème ».
Et ajoutait :
« Bientôt nous serons libres ».

Quand ce fut l’heure, les deux captives se cachèrent dans l’obscurité, attendant la relève en retenant leur souffle. L’heure de la relève arriva. Enfin ! Elles avaient l’impression d’avoir attendu des heures, les jambes engourdies. Le garde se leva et partit. La voix était libre. Elles se faufilèrent comme des ombres jusqu’au bosquet suivant pour s’y cacher quand soudain un garde, qui venait prendre la relève, les aperçues. Il leur cria quelque chose et couru dans leur direction. Les deux femmes prirent la fuite mais Ellana tomba à terre, trébuchant sur une pierre. Le garde la rattrapa et la prit en otage, un couteau sous la gorge, en criant :
« Reviens toi, sinon je la tue. ».
Sa mère cria :
« Non vas t’en, laisse moi. ».
Erylis ne savait que faire. Mais elle se rappela : * C’est vrai pourquoi ni ai-je pas pensé plutôt. *
Elle pensa à un trou s’ouvrant sous le garde. Et le trou s’ouvrit. Le garde poussa un dernier cri et tomba dans le gouffre sans fond qui se referma sur lui. Mais dans sa chute il blessa gravement la mère d’Erylis qui tomba sur le sol. Erylis courut la voir. Il y avait une tache de sang qui commençait à se former près de la blessée. Erylis pleurait énormément : sa mère était en train de mourir et elle ne pouvait rien faire.
Dans un dernier souffle Ellana lui confia :
« Vas à Eléments ma fille. Vas faire ce que j’ai toujours voulu faire : aller là-bas voir si la citée existe vraiment et peut-être y étudier. »
« Mais maman ce n’est qu’un conte. »
« Promet-le moi s’il te plaît. »
« D’accord je te le promet. »
« C’est bien ma fille, je peux mourir en paix. Adieu mon enfant. »
Et elle mourut.
Erylis éclata en sanglot incontrôlable en poussant des cris. Elle n’avait plus personne. Mais elle tiendrait sa promesse et irait à Eléments, la citée des contes de son enfance que lui racontait sa mère. Pour certains la citée n’était qu’un mythe, pour d’autres elle existait vraiment.
Mais pour l’instant il fallait enterrer sa mère et trouver un endroit pour dormir. Elle sécha ses larmes, essayant de reprendre une respiration normale. Ensuite elle se mit en quête d’un endroit convenable pour y enterrer sa chère mère. Quand elle eut trouvé le coin parfait, dans une prairie calme, elle transporta le corps, creusa un trou et y mit Ellana. Elle recouvrit ensuite le trou et grâce à son pouvoir elle fit pousser, sur la modeste tombe, de magnifiques fleurs de toutes les couleurs.
Elle s’endormit peut après, un peu plus loin, avec beaucoup de mal faisant des cauchemars et pleurant. Le lendemain elle se mit en route pour un village qui pourrait la réapprovisionner pour le long voyage qui l’attendait.

Quelques mois plus tard, elle y était : la citée d’Eléments. Sa mère avait raison, elle existait belle et bien et elle était soulagée d’avoir tenu sa promesse. Enfin maintenant il lui restait de pouvoir étudier ici et l’âme de sa mère pourrait être en paix pour l’éternité. Pour arriver ici le voyage avait été long avec quelques difficultés mais elle était arrivée et c’était tout ce qui contait. Elle était heureuse.

Caractère :
Erylis est courageuse mais déteste avoir tort surtout quand on la contredit et elle peut s’emporter très vite. Elle est aussi généreuse et gentille, et parfois elle peut être très créative. Malgré sa fine silhouette elle a une âme de guerrière.
Elle n'est pas vraiment discrète, sauf lorsqu'elle effectue une "mission" ou qu'elle se bat.

Physique :
Erylis est magnifique avec ses grands yeux noirs pétillants, sa bouche où ses contours se dessinent parfaitement.
Elle a la peau moins clair que celle des autres elfes. Ses cheveux sont noirs ou vert(si elle utilise son pouvoir), lui tombe jusqu'à la taille : ils forment un joli dégradés.
Elle a une silhouette fine et élancée. Et quand elle se bat elle le fait avec grâce, légèreté et souplesse. Ses mouvement sont fluides et précis.

Peur(s) :
Depuis que sa mère est morte tuée par un gardien brûleur elle les redoutes particulièrement mais elle aussi peur qu’un de ses proche ne meurt encore une fois devant elle.

Niveau de maîtrise du pouvoir :
Elle ne sait que quelques bases de maîtrise de son pouvoir qu’elle a apprise toute seule pendant son voyage.

Particularité(s) :
Ses cheveux peuvent être verts quand elle utilise son pouvoir de la terre et elle a toujours le couteau que lui a donné son père étant petite. Elle a aussi un petit animal nommé Pimkië, avec qui elle communique par la pensée ! Et le long de son épaule droite un tatouage représentant des feuilles et des fleurs.

Photos :

Voici Erylis :

Spoiler:

Voici Pim', Pimkië :

Spoiler:

Puissance : 130

pas mal la présentation...

La présentation est très bien faite ! Chapeau !

ouai, salut Roxanne !

T'es là !!! C'est super !!!!

oui !

cool!


salut Roxanne!


je vois souvent pim devant chez moi, dans la foret des landes...

hein ?

Pimkië est un écureil, et moi j'habite a 5 mètres des forets, donc j'en voie souvent...

ha oui !